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Term | Definition |
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CNRS | ♦ Acronyme pour : "Centre National de Recherche Scientifique" |
CNULD | ♦ Acronyme pour : "Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification". ♦ La CNULD (ou CLD) a pour objectif de lutter contre la désertification et d’atténuer les effets de la sécheresse dans les pays gravement touchés par la sécheresse et/ou la désertification, en particulier en Afrique, grâce à des mesures efficaces à tous les niveaux, appuyées par des arrangements internationaux de coopération et de partenariat, dans le cadre d’une approche intégrée compatible avec le programme Action 21, en vue de contribuer à l’instauration d’un développement durable dans les zones touchées. > La Convention offre de nouveaux espoirs dans la lutte contre la désertification Le problème de la dégradation des terres dans les régions arides n'a cessé de s'aggraver au cours des vingt dernières années. La CNULD propose une manière entièrement nouvelle de gérer les écosystèmes arides et -ce qui n'est pas moins important- les flux d'aide au développement. > Plan-cadre stratégique décennal visant à renfor cer la mise en oeuvre de la convention (2008–2018) En septembre 2007 à Madrid, la huitième Conférence des parties a adopté le Plan-cadre stratégique décennal destiné à renforcer la mise en oeuvre de la Convention (la Stratégie). La Stratégie propose des objectifs opérationnels qui se déclinent à travers des axes tels que la sensibilisation de l’opinion publique, la mise en place de cadres politiques, ou la construction de capacités nouvelles en termes d’innovation scientifique et technologique. > La Convention remodèle le dispositif de l'assistance internationale Elle cherche à engager les pays et institutions donateurs et les pays bénéficiaires dans un nouveau partenariat. Dans le cas de l'Afrique, les rôles respectifs des donateurs et des bénéficiaires sont définis avec précision dans des accords de partenariat élaborés conjointement. L'objectif est de faire en sorte que les programmes de financement soient mieux coordonnés, que le financement soit fondé sur les besoins des pays touchés, que les donateurs puissent être assurés que leurs fonds seront utilisés à bon escient, et que les bénéficiaires tirent le meilleur parti des sommes placées à leur disposition. > Un développement participatif L'accent est placé sur la démarche verticale « ascendante », partant de la base, avec une forte participation locale dans la prise de décisions. Les collectivités et leurs dirigeants, ainsi que les organisations non gouvernementales, les experts et les fonctionnaires coopèrent dorénavant étroitement pour définir les programmes d'action. ♦ Lien intenet : https://www.unccd.int/resource/convention-text ♦ Équivalent étranger : United Nations Convention to Combat Desertification, UNCCD. |
Co-marketing | ♦ Forme de marketing où l’organisme de gestion de l’aire protégée travaille avec des partenaires pour promouvoir des opportunités touristiques qui bénéficieront à toutes les parties. |
Coaction | ♦ Influence que les organismes exercent les uns sur les autres. |
Coadaptation | Phénomène par lequel des espèces s'adaptent de façon réciproque l'une à l'autre en réponse aux changements de l'une ou de l'autre. Équivalent étranger : Coadaptation. |
COCOSI | ♦ Acronyme pour : "Comité de Coordination de Site". |
Codage de données | |
Code de bonne conduite | ♦ Énoncé, généralement écrit, d’engagements individuels destinés à appliquer les meilleures pratiques pour une activité déterminée ou pour la présence et la visite sur un site fragile. Un code de bonne conduite n’a aucune valeur contraignante. Il peut cependant conduire à des mesures coercitives s’il n’a pas été appliqué librement dans une aire protégée, par exemple. |
Coefficient d’aptitude biogène (Cb2) | ♦ Appréciation de 0 à 20 de la qualité biogène d’un site d’eau courante quelconque par rapport à une situation optimale correspondant à la meilleure combinaison du couple nature/variété de la macrofaune benthique relevée in situ et analysée suivant un protocole standard. Ce coefficient permet de différencier deux grands axes de perturbations selon deux indices notés sur 10. In mesure plus particulièrement la qualité de l’eau, alors que Iv définit la qualité de l’habitat (une grande variété s’explique par un grand nombre de niches écologiques. Ce calcul diffère de l’IBGN (voir plus loin) par le fait qu’on considère ici un nombre plus important de taxons indicateurs. Ces deux indices différents (In et Iv) permettent d’illuster la part respective de la qualité de l’habitat (en relation avec Iv) et de la qualité physico-chimique de l’eau (en relation avec In) dans l’indice Cb2. Cet indice s’écrit donc : Cb2 (/20) = Iv (/10) = In (/10)
♦ Équivalent étranger : Biogenic capacity coefficient. |
Coefficient d’association de Cole | ♦ Ce coefficient permet d'établir le degré d'association entre deux espèces A et B.
L'application de ce coefficient permet d'évaluer le degré d'association d'espèces prises deux à deux. |
Coefficient d’efficacité de la pluviosité pour la production | ♦ Acronyme : CEP CEP = Production (kg MS ha/a) / Précipitations (mm) ♦ Équivalent étranger : Coefficient of rainfall efficiency for production. |
Coefficient de Bray-Curtis | ♦ Indice de dissimilarité, développé en l’écologie végétale terrestre et emprunté par l’écologie marine, le coefficient de Bray-Curtis n’est pas affecté par les doubles-absences. Cependant, on lui reproche de donner plus de poids aux espèces abondantes qu’aux espèces rares, ce qui peut être modifié en effectuant une simple ou double transformation logarithmique des données d’abondance. δjk = Σ |Yij − Yik| / ( Σ (Yij + Yik) = 1 - 2W / A = B avec :
> L’indice de dissimilarité de Bray-Curtis varie entre 0 (valeurs identiques pour toutes les espèces) et 1 (aucune espèce en commun). Son complément est l’indice de similarité Sjk : Sjk = 1 - δjk
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Coefficient de concordance Kappa de Cohen | ♦ Le coefficient Kappa de Cohen est destiné à mesurer l’accord entre deux variables qualitatives ayant les mêmes modalités. Classiquement, il est utilisé afin de mesurer le degré de concordance entre les stades attribués par deux juges. Il peut également être appliqué afin de mesurer un accord intra-observateur.
La concordance observée est une proportion qui vaut la somme des effectifs concordants observés divisée par la taille de l’échantillon total. La concordance aléatoire est une proportion qui vaut la somme des effectifs concordants théoriques divisée par la taille de l’échantillon total. Le coefficient de concordance Kappa est un nombre sans dimension compris entre -1 et +1. ────────────────────────── |
Coefficient de dispersion | ♦ Pour qualifier les habitats urbains, le coefficient de dispersion est le rapport, sur un même territoire, de la somme des surfaces artificialisées de moins de 3 ha sur la somme des surfaces artificialisées de plus de 3 ha. Si le coefficient de dispersion est élevé, alors l’artificialisation sur le territoire est dispersée. Si le coefficient de dispersion est faible, l’artificialisation sur le territoire est davantage agglomérée, c’est-à-dire constituée majoritairement par de grands tissus urbains continus. Un taux de 10% signifie que les surfaces artificialisées continues de plus de 3 ha sont dix fois plus importantes que les surfaces de moins de trois hectares. |
Coefficient de Jaccard | ♦ Coefficient utilisé en phytosociologie pour établir les similitudes floristiques entre relevés. Il établit le rapport entre le nombre d’espèces communes à deux relevés effectués dans deux stations différentes :
♦ Équivalent étranger : Jaccard coefficient. |