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« Utiliser le bon mot, la bonne notion, le bon concept, avec la définition la plus couramment acceptée, ou mieux avec la définition la mieux acceptée et comprise relève parfois de l’exploit, … »
                                                     
 Patrick Triplet.

> Par cette citation, je souhaite rendre un vibrant hommage au travail de Titan réalisé sur plus de dix ans par ce biologiste, docteur en écologie dont l’ouvrage Dictionnaire encyclopédique de la diversité biologique et de la conservation de la nature constitue la source de très nombreuses définitions présentes dans ce glossaire. Utiliser un langage dont les mots recouvrent des concepts clairement définis permet à chacun d’aborder et de comprendre des domaines qui ne sont pas forcément de sa compétence.

> Ce glossaire qui regroupe plus de 6 000 définitions accompagnées de leur traduction anglaise est là pour vous y aider. Il couvre les domaines complémentaires que sont la Géographie, l’Écologie et l’Économie, sans oublier de faire un petit détour par la Finance qui régit dans l’ombre une bonne part de notre existence.

> Par lui-même, de définition en définition, ce glossaire vous invite à explorer l’univers riche de la conservation des milieux naturels, d’en comprendre les mécanismes et les enjeux.

À toutes et tous, nous souhaitons : “Excellente lecture et bon voyage”.

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Terme Définition
Vortex d'extinction

♦ Catégorie de modèles utilisés pour comprendre, décrire ou catégoriser la dynamique et les causes d'extinctions d'espèces et de groupes d'espèces. > Un vortex d'extinction peut avoir trois grands types de cause ou facteurs aggravants :

  1. Facteurs démographiques >> Plus la population diminue, plus les partenaires sexuels auront du mal à se rencontrer ; ou dans le cas des espèces qui libèrent leur semence dans l'environnement, moins spermatozoïdes et ovules, pollens et ovaires auront de chances d'entrer en contact.
  2. Facteurs génétiques >> La dépression de consanguinité augmente au sein des petites populations ou de populations captives (élevages) ou non soumise à leurs prédateurs (par exemple éliminés par la chasse sur l'essentiel de leurs territoires dans le cas des grands carnivores) ; un vortex génétique s'installe avec l'accumulation lente mais régulière de mutations délétères, la sélection ayant un effet amoindri par rapport à la dérive génétique, notamment en populations captives
  3. Facteurs socio-économiques >> Ce qui est rare est cher ; la loi de l'offre et de la demande fait que la rareté d'une espèce stimule sa chasse, pêche ou cueillette voire son braconnage ou des trafics mafieux à grande échelle.

Types de vortex (ou tourbillons)

  1. Vortex R >> Initié quand une perturbation favorise une baisse de population (taille N) et une augmentation correspondante de la variabilité (Var (r)). Un tel événement peut rendre les populations vulnérables à des perturbations supplémentaires qui conduiront à de nouvelles diminutions de taille de population (N) et de nouvelles augmentations de la variabilité (Var (r)). Un bon exemple est la rupture des sex ratios dans une population en provenance de l'espèce optimale.
  2. Vortex D >> Initié lorsque la taille d'une population (N) diminue et que la variabilité (Var (r)) augmente de telle sorte que la distribution spatiale (D) de la population a augmenté et que la population devient « inégalement répartie » ou écologiquement fragmentée. Au sein des fragments, les taux d'extinction locale augmentent alors, avec un feedback positif qui entraine l'aggravation du phénomène.
  3. Vortex F >> Initié lorsque la taille d'une population (N) diminue en conduisant à une diminution de l'hétérozygotie (augmentation de l'autozygosité) et en augmentant le taux de dérive génétique. Il en résulte une aggravation de la dépression de consanguinité et une augmentation des tares génétiques au sein de la population, ce qui au fil du temps conduira à l'extinction.
  4. Vortex A >> Induit par l'augmentation de la dérive génétique et une diminution correspondante de variabilité génétique. Ceci conduit à une diminution du potentiel d'adaptation évolutive de la population face aux changements de l'environnement ou aux pathogènes. Cette situation peut également plus ou moins rapidement conduire à l'extinction. Ce tourbillon peut être enclenché par l'introduction d'espèces exotiques invasives ou par une invasion biologique spontanée (phénomène qui semble très rare dans la nature), aboutissant — à grande échelle — à des hybridations et parfois à une pollution génétique.

♦ Équivalent étranger : Vortex.

Vraisemblance

♦ Caractère plausible (crédible) d’une observation, compte des éléments déjà connus par ailleurs, comme par exemple l’aire de répartition, la période d’activité, l’habitat d’espèce etc.
♦ Équivalent étranger : Likelihood.

VUE

♦ Acronyme pour : "Valeur universelle exceptionnelle".
♦ Valeur culturelle ou naturelle si exceptionnelle qu'elle transcende les frontières nationales et est d'une importance commune aux générations actuelles et futures de toute l'humanité.

> Cette valeur regroupe deux critères majeurs :

  • L’intégrité >> « Le tissu physique du bien et/ou ses caractéristiques significatives doivent être en bon état, et l’impact des processus de détérioration doit être contrôlé. Il doit exister une proportion importante des éléments nécessaires à la transmission de la totalité des valeurs que représente le bien. » (Extrait des orientations devant guider la mise en œuvre de la Convention du Patrimoine mondial, version de novembre 2011, référence du document WHC.11/01
  • L'authenticité >> « Selon le type de patrimoine culturel et son contexte culturel, on peut estimer que les biens satisfont aux conditions d’authenticité si leurs valeurs culturelles sont exprimées de manière véridique et crédible à travers une variété d’attributs, y compris forme et conception, matériaux et substance, usage et fonction, traditions, techniques et systèmes de gestion, situation et cadre [...] ». (Extrait des Orientations devant guider la mise en œuvre de la Convention du Patrimoine mondial, version 2011).

> Un site candidat doit également satisfaire à au moins l'un des dix critères du patrimoine :

  1. Représenter un chef-d'œuvre du génie créateur humain
  2. Témoigner d'un échange d'influences considérable pendant une période donnée ou dans une aire culturelle déterminée, sur le développement de l'architecture ou de la technologie, des arts monumentaux, de la planification des villes ou de la création de paysages
  3. Apporter un témoignage unique ou du moins exceptionnel sur une tradition culturelle ou une civilisation vivante ou disparue
  4. Offrir un exemple éminent d'un type de construction ou d'ensemble architectural ou technologique ou de paysage illustrant une ou des périodes significative(s) de l'histoire humaine 
  5. Être un exemple éminent d'établissement humain traditionnel, de l'utilisation traditionnelle du territoire ou de la mer, qui soit représentatif d'une culture (ou de cultures), ou de l'interaction humaine avec l'environnement, spécialement quand celui-ci est devenu vulnérable sous l'impact d'une mutation irréversible
  6. Être directement ou matériellement associé à des événements ou des traditions vivantes, des idées, des croyances ou des oeuvres artistiques et littéraires ayant une signification universelle exceptionnelle. (Le Comité considère que ce critère doit préférablement être utilisé en conjonction avec d'autres critères)
  7. Représenter des phénomènes naturels ou des aires d'une beauté naturelle et d'une importance esthétique exceptionnelles
  8. Être des exemples éminemment représentatifs des grands stades de l'histoire de la terre, y compris le témoignage de la vie, de processus géologiques en cours dans le développement des formes terrestres ou d'éléments géomorphiques ou physiographiques ayant une grande signification
  9. Être des exemples éminemment représentatifs de processus écologiques et biologiques en cours dans l'évolution et le développement des écosystèmes et communautés de plantes et d'animaux terrestres, aquatiques, côtiers et marins
  10. Contenir les habitats naturels les plus représentatifs et les plus importants pour la conservation in situ de la diversité biologique, y compris ceux où survivent des espèces menacées ayant une valeur universelle exceptionnelle du point de vue de la science ou de la conservation.

♦ Équivalent étranger : Outstanding universal value.

Vulnérabilité

♦ Au sens le plus large, exprime le niveau de conséquences prévisibles d'un aléa (phénomène naturel) sur les enjeux.

  1. Se réfère à la probabilité que la valeur de la biodiversité d'un site sera perdue dans le futur. Aussi, la vulnérabilité peut également être vue comme une mesure de l'irremplaçabilité plutôt dans le temps que dans l'espace. Ainsi, les sites hautement vulnérables peuvent être protégés soit maintenant, soit jamais. Les sites faiblement menacés conservent des options de conservation pour le futur. La vulnérabilité peut être mesurée sur la base du site (probabilité qu'une espèce va disparaître du site), ou sur la base des espèces (probabilité que les espèces vont disparaître).
  2. La vulnérabilité est également le degré selon lequel un système risque de subir ou de ne pas tolérer les effets néfastes des changements climatiques, y compris la variabilité du climat et les phénomènes climatiques extrêmes. La vulnérabilité dépend de la nature, de l'ampleur et du rythme de l'évolution et de la variation du climat auxquels un système est exposé, ainsi que de sa sensibilité et de sa capacité d'adaptation.
  3. La vulnérabilité est également la sensibilité des personnes, des sites, des écosystèmes et des espèces à des stress ou des perturbations et à leur capacité à en absorber les conséquences tout en maintenant leur fonctionnement.

> La vulnérabilité d'un système a deux composantes :

  1. La sensibilité est le degré avec lequel un système est affecté, soit positivement, soit négativement, par un événement, dans le cadre du climat, ceci inclut le changement climatique : caractéristiques climatiques moyennes, variabilité climatique, fréquence et amplitude des extrêmes.
  2. La capacité adaptative qui est l'aptitude d'un système à s'ajuster à un changement climatique et à la variabilité du climat, à modérer des dommages potentiels et à prendre avantage des opportunités ou à composer avec les conséquences.

> Deux principales méthodes pour évaluer la vulnérabilité des aires protégées au changement climatique seront possibles :

  • Les évaluations de la vulnérabilité basées sur les traits (Traits-based Vulnerability Assessments - TVA).
  • La modélisation de la répartition des espèces (Species Distribution Modelling -SDM).

A. Approche TVA

> Ce mode vise à évaluer les traits biologiques spécifiques à l'espèce qui peuvent augmenter ou diminuer les effets du changement climatique sur cette espèce. Ceci est fondé sur le cadre d'évaluation de la vulnérabilité au changement climatique de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), qui prend en compte trois composantes :

  1. La sensibilité >> Le manque de potentiel pour une espèce de persister
  2. La faible adaptabilité >> L'incapacité d'éviter les impacts négatifs du changement climatique par la dispersion et/ou le changement micro-évolutionnaire
  3. L'exposition >> L'étendue selon laquelle l'environnement physique de chaque espèce changera.

Les espèces qui combinent une sensibilité et un degré d'exposition élevés, et une faible capacité à s'adapter seront les plus vulnérables au changement climatique. Les méthodes de TVA permettent également d'identifier les espèces et les régions où elles sont concentrées, ce qui peut donc guider les options de gestion adaptative les plus appropriées pour chaque espèce. Les produits de cette méthode sont :

  • des rangs, des scores continus ou des variables binaires pour les composantes de vulnérabilité individuelle, utilisés pour dériver un score final de vulnérabilité ;
  • des cartes à grande échelle indiquant là où les espèces vulnérables sont concentrées.

B. Approche SDM

> La seconde approche (SDM) est pour le moment la plus utilisée pour évaluer la vulnérabilité des espèces au changement climatique et est fondée sur leur répartition actuelle et future prévue. Les produits du SDM peuvent être :

  • des cartes de distribution projetée à différents points dans le temps (c'est-à-dire tendances de répartition spatiale et temporelle) pour chaque espèce ;
  • des changements projetés dans la composition de la communauté d'espèces à l'échelle du site ou à l'échelle locale.

> Les deux méthodes ont des forces et faiblesses différentes. La force de la méthode SDM est qu'elle produit des cartes spatiales explicites de l'étendue actuelle et future des espèces, tandis que la méthode TVA produit des informations détaillées sur les traits biologiques pertinents en lien avec la vulnérabilité au changement climatique à l'échelle de l'espèce. La faiblesse de la méthode SDM concerne surtout le fait qu'elle ne considère pas les contraintes sur la distribution due aux traits biologiques inhérents des espèces, ou les facteurs tels que les barrières à la dispersion. Dans la méthode TVA, des cartes spatiales explicites de distribution future liée au changement climatique ne sont pas produites. Le SDM aide à donner des réponses à l'échelle du site à travers l'identification de la cible de gestion de l'espèce (la persistance, la colonisation ou un équilibre entre les deux) et le TVA donne des réponses pour chaque espèce en identifiant les composantes de la susceptibilité. L'intégration des deux approches fournit de plus robustes évaluations de la biodiversité au risque climatique, de sorte que des plans d'adaptation et des interventions puissent être mis en application.

> La planification de l'adaptation est donc l'objectif principal pour les planificateurs de la conservation :

  • Identifier les sites à protéger : viser les sites qui contiennent des espèces vulnérables, inclure les espèces avec une gamme de réponses au changement climatique.
  • Identifier les actions de gestion requises : identifier les espèces dont la persistance dépend d'un habitat spécifique et investir dans cet habitat (qui pourrait lui-même être affecté par le changement climatique) afin de protéger ces espèces.

♦ Équivalent étranger : Vulnerability.

Vulnérabilité au climat

♦ Propension d'une population ou d'un écosystème à subir des dommages en cas de variations climatiques, qui dépend de leur capacité d’adaptation. La vulnérabilité aux catastrophes naturelles est un effet combiné de la nature, de l’environnement de la société, de la condition financière et de la sensibilité de la communauté. Elle est caractérisée par le risque d’être victime ou affecté par des catastrophes naturelles. Le changement climatique, en particulier, affecte le bien-être des humains dans les pays en voie de développement qui manquent souvent des moyens nécessaires d’y faire face.

> Généralement, la vulnérabilité socio-écologique des populations est la même partout dans le monde. Les populations font face généralement à trois composantes : l’exposition, la sensibilité et la capacité adaptative. La résilience des moyens d’existence est la capacité d’un individu, d’un groupe ou d’une communauté à rebondir pour anticiper les défis posés.

  • L’exposition concerne la capacité d’un système à faire face à des conditions climatiques variables. Elle se focalise généralement sur la condition d’un individu ou d’une communauté en face de situations climatiques variables. Elle montre la fréquence et l’étendue des pertes en termes de capital social.
  • La sensibilité désigne de degré de réaction positive ou négative à des conditions climatiques variables. Ceux-ci incluent des éléments du changement climatique : caractéristiques moyennes climatiques, variabilité climatique et la fréquence et l’amplitude des extrêmes. Elle repose généralement sur la réaction d’un individu ou d’une communauté en face de situations climatiques changeantes. Elle montre aussi la fréquence et sensibilité en matière de capital de moyens d’existence.
  • La capacité adaptative est la possibilité pour un système de s’ajuster au changement climatique et à la variabilité climatique, de modérer les dommages potentiels et de profiter des opportunités ou de s’ajuster en fonction des conséquences. Elle met en avant l’aptitude d’un individu ou d’une société à combattre ou à contrôler une situation qui se produit pendant des risques naturels.

> La vulnérabilité est déterminée à des échelles spécifiques spatiales et temporelles et est une propriété dynamique qui change en fonction des conditions locales, par exemple un système peut être vulnérable à un moment particulier et pas à d’autres. Les systèmes sont considérés comme hautement vulnérables s’ils présentent une faible capacité inhérente à s’adapter au changement (donc à ne pas être résilients) et/ou s’il n’y a que peu ou pas d’options pour réduire les impacts des pressions et/ou ils sont naturellement sensibles aux pressions, par exemple en raison de leur localisation géographique ou socio-politique. D’un autre côté, les systèmes ont une faible vulnérabilité et donc une forte capacité adaptative s’ils ont des capacités institutionnelles et financières à développer et à mettre en oeuvre des options pour réduire l’impact des pressions (souvent référées comme capacité d’adaptation) ou sont résilients de manière inhérente.

La vulnérabilité est donc liée à la stabilité ou à la résilience qui est composée de la sensibilité du système et de sa capacité d’adaptation, ainsi que de l’exposition à un événement climatique généralement extrême (inondation, sècheresse, canicule).

Relation entre la sensibilité, la résilience et la vulnérabilité d’un système

─────────────────────────────────
  Résilience /         Capacité adaptative
  Sensibilité           Élevé          Basse
────────────────────────
     Élevé         Vulnérable          Très vulnérable
    Basse         Non vulnérable         Vulnérable
─────────────────────────────────

Modifié de Alwang et al., 2001; IPCC 2001

♦ Équivalent étranger : Climate sensitivity.

Vulnérable

♦ Qualifie une espèce dont le passage dans la catégorie des espèces en danger est jugé probable dans un avenir proche en cas de persistance des facteurs qui sont cause de la menace.
♦ Équivalent étranger : Vulnerable.

WCS

♦ Acronyme pour : "Wildlife Conservation Society".
♦ La "Société pour la Conservation de la Vie sauvage", est une organisation non gouvernementale (ONG) américaine dont l'objectif est la préservation de la nature (zones de la flore et de la faune) dans le monde et particulièrement en Afrique.
Site internet : https://www.wcs.org/

WRI

♦ Acronyme pour : "World Resources Institute".
♦ En français, Institut des ressources mondiales, le WRI est une cellule de réflexion américaine spécialisée dans les questions environnementales.

> Fondé en 1982 par l'avocat James Gustave SPETH, ancien secrétaire du conseil de la qualité environnementale du Président Jimmy CARTER, elle est proche du Parti Démocrate, bien qu'indépendante.
Le WRI a été à l'avant-garde de la recherche et de la mobilisation de l'opinion publique sur la question du réchauffement climatique et des émissions de gaz à effet de serre. Outre un rapport annuel, il a été commissionné à diverses reprises par des agences onusiennes.

> Le WRI soutient des projets, comme Global Forest Watch.
Site internet : https://www.wri.org/

WWF

♦ Acronyme pour : "World Wide Fund for Nature" anciennement "World Wildlife Fund".
♦ Le WWF créée en 1961, est l'une des plus importantes ONGI environnementalistes du monde avec plus de six millions de soutiens à travers le monde. Elle dispose d'un réseau actif dans plus de 100 pays et soutient environ 1 300 projets environnementaux.

Xénobiotique

♦ 1. En général : désigne ce qui est étranger à la vie (= substance, molécule, étrangères à la biosphère) ; molécules chimiques de synthèse étrangères à l'organisme et résistantes à la biodégradation.
   2. Substance possédant des propriétés toxiques, même à très faible concentration (exemple les pesticides).
♦ Équivalent étranger : Xenobiotic.

Xéricole

Organisme qui se développe dans des conditions très arides.
Équivalent étranger : Xerocolous.
Xérique

♦ Milieu caractérisé par une aridité persistante.
♦ Équivalent étranger : Xeric.

Xéromorphie

♦ Adaptation morphologique à la sécheresse.
♦ Équivalent étranger : Xeromorphy.

Xéropaysagisme

♦ Méthode d'aménagement paysager qui utilise des plantes qui n'ont pas besoin d'une grande quantité d'eau.
♦ Équivalent étranger : Xerophyte landscaping.

Xérophile

♦ Qualifie une plante résistante à la sécheresse.
♦ Équivalent étranger : Xerophytic.